C’est à une rencontre fortuite entre un commerçant de matières agricoles et le président de la distillerie paraguayenne Capasa que nous devons le rhum El Supremo. Séduit par de nouvelles matières premières inédites et 100% locales, Filippo Maria Olivi di Briana décela tout le potentiel de son projet de création de rhums dès sa première visite à la distillerie Capasa, l’une des deux seules distilleries du pays.
La disponibilité à portée de main de plusieurs ingrédients fondamentaux porteurs de tout un patrimoine national l’encourage dans son projet : des champs de canne à sucre extrêmement fertiles récoltées à la main, une eau des plus pures de l’aquifère indigène guarani et un parc de barriques en bois précieux locaux. Parmi ces derniers, on retrouve les fameux fûts d’incienso qui apportent tant de singularité aux rhums qui composent la gamme.
En quête d’un nom riche de sens pour baptiser sa marque de rhum, le choix se porta rapidement sur une des figures emblématiques du pays. Né en 1766 à Asuncion, Don José Rodríguez de Francia était un avocat et homme politique paraguayen influencé par les idéologies de l’Illuminisme et de la Révolution Française. Dans les années 1810, il mena l’indépendance du Paraguay. Quelques années plus tard, il fut nommé “Dictateur à vie” ce qui lui doit son surnom « Dictador supremo y perpetuo » donnant rapidement naissance à la version condensée « El Supremo ». C’est donc pour rendre hommage à Don José Rodríguez de Francia que fut créé une gamme de rhums aussi singulière que cette personnalité emblématique.
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